Texte écrit en écho à la disparition d’un proche, sur ce mode de fin, également envie récurrente dans le quotidien de certain, sans pour autant impliquer un passage à l’acte – aout 2019 –
» Je suis le suicidé fatal à la folle destinée, je suis le misérable délaissé, sublimé par un passé de trépassé, de sangs mêlés, de crimes profanés, de violences répétées, je suis le suicidé des jurés, sans félicité, brisé, abimé, encombré par les passages à vide, bloqué, écorché, râpé par une fascination mortifère archaïque, envahi par une surcharge de paradis perdus, … »